L’achat d’un bâtiment, d’un immeuble, d’une maison constitue un investissement considérable nécessitant du financement relativement important. Le prêt bancaire s’avère une option pertinente afin de pouvoir acquérir l’immobilier. Les banques exigent d’apport minimum de la part de l’emprunteur en vue de s’assurer des divers frais et du remboursement.
L’apport minimum exigé pour le prêt immobilier
Pour l’octroi d’un crédit immobilier, les établissements bancaires demandent d’apport minimum. Ce dernier permet à la banque de couvrir les divers frais comme les frais d’agence, les frais bancaires, les frais de courtage. L’
apport immobilier dépend du montant du prêt immobilier. Il s’agit d’un pourcentage à constituer, calculé à partir du crédit demandé. Ce montant est important pour la banque dans l’évaluation de la capacité d’endettement de l’emprunteur. Ce dernier doit disposer ce pourcentage pour obtenir plus facilement le crédit.
La sûreté personnelle pour le cautionnement du prêt immobilier
Dans la contraction du prêt immobilier, les banques exigent une caution pour le garant du remboursement. Elles demandent fréquemment la sûreté personnelle. Il s’agit de la garantie personnelle ou le cautionnement. La caution constitue une personne physique ou morale. La personne physique peut être l’individu lui-même ou un tiers. Quant à la personne morale, il peut s’agir d’un organisme bien défini ou d’une banque. Le cautionnement engage la personne physique ou morale à se substituer du débiteur principal dans le cas où celui-ci ne parvient pas à rembourser le prêt immobilier.
La sûreté réelle pour le garant du prêt immobilier
La sûreté réelle fait partie des garantis réclamées par les établissements bancaires pour octroyer des prêts immobiliers. L’emprunteur doit constituer d’un nantissement, du gage ou d’une hypothèque pour rassurer la banque du paiement des prêts. Il s’agit des biens meubles ou immeubles, faisant l’objet d’un engagement écrit, conférant aux créanciers des droits spécifiques. Le nantissement concerne les sûretés mobilières, les fonds de commerce, les droits de propriété commerciale ou industrielle. Le gage porte sur des véhicules. Le nantissement ou le gage doit faire l’objet d’une inscription particulière. Quant à l’hypothèque, il s’agit d’une sûreté immobilière, donnant droit de préférence et de suite au créancier dans le cas de la défaillance du débiteur.
Pour accorder des crédits immobiliers, les banques demandent d’apport de la part de l’emprunteur. Cet apport constitue un montant particulier à réunir, montrant la capacité d’endettement du client. Il concerne également les sûretés personnelles et réelles, des garantis afin de s’assurer du remboursement des prêts. La constitution de ces apports facilite l’aboutissement de l’emprunt.